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Étiquette : Ormaiztegi

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Piste cyclable Legorreta-Ormaiztegi

Piste cyclable allant de Legorreta à Ormaiztegi, en passant par les villages de Itsasondo, Ordizia et Beasain. La visite peut se faire à vélo, à pied, avec des patins ou avec d’autres outils.

Musée Zumalakarregi

Musée Zumalakarregi

Office de tourisme Ormaiztegi

Musée Zumalakarregi

Calendrier:
• Mars – octobre: ​​du mardi au samedi et jours fériés de 10h00 à 14h00 / 16h00 à 19h00 | Dimanche de 10h00 à 14h00
• Novembre – février: mardi au vendredi et dimanche de 10h00 à 14h00 | samedi et jours fériés de 10h00 à 14h00 / 16h00 à 19h00
• Musée fermé: Lundi, 1er et 6 janvier, 1er mai et 30 novembre
Langues: Basque, Espagnol, Anglais, Français
Entrée:
• Normal: 3 €
• Groupes (à partir de 5 personnes): 2€
• Réduit: 1,5 € (étudiants, groupes, retraités, chômeurs, membres de Kulturgune Bastero Andoain, membres de Nekatur, Eusko Ikaskuntza et Hirukide)
• Gratuit: tous les jeudis
Adresse: Caserío Iriarte Erdikoa, Muxika egurastokia 6
Téléphone: 943 88 99 00
E-mail: mzumalakarregi@gipuzkoa.eus
Web: www.zumalakarregimuseoa.eus
Wifi: non
Points d’intérêt

Musées et centres d’interprétation

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Barandiaran et Zumalacárregui: Personnages historiques

Parc minier du Goierri

Mutiloa, Ormaiztegi et Zerain

Bienvenue au parc minier du Goierri et à la voie verte

Nous sommes dans le Goierri, dans le Haut-Pays basque d’Euskadi, où la nature touche le ciel et où la culture et la gastronomie forment un binôme avec l’appellation d’origine. Le passé minier de la région est perceptible dans le parc minier du Goierri, un lieu où l’on peut remonter le temps jusqu’à l’époque où l’extraction des minerais était le mode de vie de nombreux habitants du Goierri.

Télécharger la carte

Nous vous présentons le Parc Minier du Goierri, composé de différents éléments, tous liés à la forte industrie minière qui, depuis l’Antiquité, s’est maintenue jusqu’au début du XXe siècle. L’élément principal est la voie verte entre Mutiloa et Ormaiztegi, qui longe l’ancien chemin de fer minier utilisé pour transporter le minerai extrait dans les réserves minières de la région jusqu’à Ormaiztegi, d’où il était acheminé par voie ferrée vers les ports maritimes voisins. En plus de la voie verte, il existe 3 sentiers d’accès et de connexion aux anciens centres miniers.
Depuis Ormaiztegi, Mutiloa ou Zerain, vous pouvez désormais profiter de l’ensemble du parc minier du Goierri, suivre le chemin par lequel le minerai était transporté par câble aérien et découvrir les différentes ressources de la région, comme le musée Zumalakarregi et le viaduc d’Ormaiztegi, les fours d’Aizpitta, le musée ethnographique et la scierie hydraulique de Zerain, la zone de Barnaola dans la commune de Mutiloa, ainsi que la ville elle-même et le quartier de Liernia.
ROUTE DE CÂBLE Depuis les fours d’Aizpea, le minerai était acheminé par un câble aérien jusqu’à la zone minière de Barnaola, d’où il était transporté par chemin de fer jusqu’à Ormaiztegi. Nous ne pouvons pas prendre l’avion et c’est pourquoi nous avons créé cette nouvelle route qui relie les fours d’Aizpea à la réserve de Barnaola et qui nous permet de suivre tout le parcours qu’empruntait le minerai.
ROUTE TROI La route Troi est la voie d’accès à la réserve minière de Mutiloa. Elle commence au centre de Mutiloa et, après un passage sur la route du moulin de Lenkaran, elle longe la rivière Troi pour arriver à Barnaola. À côté du hameau du même nom se trouvent les structures de deux barrages de décantation, de stockage et de transport de la réserve minière de Mutiloa. C’est d’ici que partait le chemin de fer minier qui reliait la mine à Ormaiztegi, aujourd’hui transformé en voie verte. Le sentier suit les indications du GR283.

Gi SL 36

Depuis le village de Zerain, un sentier local mène aux fours d’Aizpitta, d’où l’on peut suivre l’ensemble de la nouvelle route vers Ormaiztegi. Ce sentier local est également un itinéraire circulaire.

Voie verte Mutiloa-Ormaiztegi

La voie verte Mutiloa-Ormaiztegi est une route d’origine minière. Elle longe les pentes des montagnes, au-dessus des centres urbains auxquels elle fait référence. Sa beauté réside dans les vues panoramiques des vallées à ses pieds et de la forêt qui l’entoure. Il existe un jeu d’orientation adapté aux familles et aux enfants. La carte est disponible à l’office du tourisme d’Ormaiztegi.

Histoire des réserves minières

À Mutiloa, le minerai de fer, extrait à Peatza, Ollargain, Gezurmuño ou Aizpuru, était, depuis l’époque médiévale, le principal fournisseur des forges actives dans les bassins supérieurs des vallées des rivières Urola et Oria. À la fin du XIXe siècle, la Compañía Minera de Mutiloa S.A. a imposé une exploitation plus organisée et systématique. Pour ce faire, elle a construit les infrastructures nécessaires pour répondre aux exigences du nouveau système de production : le chemin de fer minier qui traversait la zone depuis les environs de la ferme Barnaola jusqu’à la station Ormaiztegi, les plans inclinés, les lavoirs à minerai et les bassins de décantation… qui, avec l’école, les cantines et le bureau, occupaient et modifiaient substantiellement les pentes du quartier d’Ergoena.
Le minerai de fer alimente les grandes fonderies anglaises et françaises telles que Les Forges del Adour de Boucou à Baiona. En 1927, elles ont envoyé la dernière cargaison de minerai. Pendant la Seconde Guerre mondiale, une société allemande s’est intéressée sporadiquement à la région et, dans les années 1950, la société Patricio Echeverria S.A. de Legazpi a extrait suffisamment de minerai de fer pour alimenter les fours à éponge nouvellement construits. Dans les années 1970, la société canadienne Exminesa a découvert le riche filon de plomb de la mine Troya, qui est restée active jusqu’en 1993.
C’est le dernier épisode d’une tradition minière enracinée depuis des siècles à Mutiloa et au Pays basque. À Zerain, l’exploitation minière est un fait indéniable depuis la fin du Moyen-Âge. L’activité la plus intense a commencé au milieu du XIXe siècle et, à la fin de ce même siècle, des sociétés de capitaux étrangères, anglaises, hollandaises et allemandes, ont réorganisé la zone et commencé à travailler systématiquement à l’installation de nouveaux éléments technologiques : chemins de fer miniers internes, fours de calcination, câbles aériens…
Ce minéral était très demandé par l’industrie sidérurgique européenne. Les fluctuations du marché et les conflits de guerre internationaux ont surtout eu pour conséquence que l’activité minière n’a pas été poursuivie. Les derniers travaux dans la réserve ont eu lieu dans les années 1950, lorsque la société Patricio Exheverria S.A. de Legazpi s’est intéressée aux filons de fer en raison de la pénurie de ferraille qui alimentait les fours de ses aciéries. Cette activité nous a laissé un paysage et un patrimoine culturel intéressants où l’atelier de calcination se distingue par ses trois fours impressionnants qui nous accueillent à côté du centre d’interprétation d’Aizpitta.

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La Voie Verte Mutiloa-Ormaiztegi

Le circuit de la Voie Verte Mutiloa-Ormaiztegi est un autre parcours que l’on peut suivre en famille.
Il propose un jeu/itinéraire didactique associant sport d’orientation, randonnée et amusement. Ce circuit circulaire (8 km) se prête également à la pratique de la marche nordique. Avec vos enfants, vous pourrez aller récupérer la carte du parcours et un crayon à l’office du tourisme d’Ormaiztegi, au musée Zumalakarregi. Pour finir le jeu, il faut répondre correctement aux questions des 10 balises qui jalonnent le parcours. Elles concernent la nature, l’environnement et l’activité minière.

Barandiaran et Zumalacárregui: Personnages historiques

Personnages historiques

Barandiaran et Zumalakarregi

Aita Barandiaran

LE PATRIARCHE DE LA CULTURE BASQUE Qui est Olentzero? Et eguzkilore? Pourquoi les chauves-souris vivent-elles la nuit? Tout a commencé ici, dans le Goierri. Dans le quartier San Gregorio, à Ataun, le 31 décembre 1889, avec la naissance de José Miguel de Barandiarán. Nous nous trouvons sur les contreforts de la chaîne de l’Aralar, une région imprégnée de mythes et de réminiscences magiques, habitée par des sorcières, des géants et d’héroïques personnages légendaires de la culture basqueLe musée Barandiarán est un trésor culturel mal connu des touristes. Il vous fera entrer dans l’univers magique des Basques. Aita (le père, en basque) Barandiarán a compilé des récits, des mythes, des contes et des savoirs spécifiques de la culture traditionnelle basque qui n’auraient pas pu survivre sans cela. Le père Barandiarán a bouleversé notre connaissance de la préhistoire du Pays basque et sauvegardé notre mythologie.
José Miguel de Barandiarán est un prêtre qui vécut jusqu’à l’âge de 102 ans et qui publia 575 ouvrages relatifs au peuple basque. Plus de dix mille pages de livres, d’articles et de collaborations. ”J’irais jusqu’en enfer, si c’était pour parler de la culture basque” avait-il coutume de dire. L’étude de ce “patrimoine immatériel” qu’il corréla avec d’autres disciplines, et plus particulièrement l’archéologie, a fait de lui le fondateur de l’ethnographie basque. C’est grâce au père Barandiarán que nous connaissons aujourd’hui le passé millénaire d’Euskal Herria. Dans l’enfance du père Barandiarán, le basque était la seule langue parlée dans sa ville natale: Ataun.
Issu de parents qui avaient une conception spirituelle de la culture, mais qui étaient analphabètes (sous le règne d’Alphonse XII, 75 % de la population espagnole ne savait ni lire, ni écrire), José Miguel de Barandiarán parvint à parler six langues : le basque, l’espagnol, le latin, l’anglais, le français et l’allemand. À l’âge de 100 ans, il se souvenait encore de vers de Don Quichotte qu’il avait appris par cœur dans son enfance et dont il ne comprit le sens que bien des années plus tard. Le père Barandiarán fit sa première découverte archéologique par hasard, en tentant de trouver le lieu exact où vivaient les gentiles (des géants païens de la mythologie basque).

Les mythes qui nous ont été racontés par Barandiaran!

  • Olentzero, la fin d’une époque et le début d’une autre

    Les gentiles jouaient dans la montagne quand ils virent un nuage lumineux qui venait de l’est. D’après ce que leur dit un ancien, c’était le Christ (dans leur langue, Kixmi, le singe), dont la venue annonçait la fin de ce monde et le début d’une nouvelle ère… et il leur demanda de le jeter dans un ravin. Les autres gentiles se précipitèrent sous un dolmen, “jentillarri”. Il ne resta plus qu’un gentil, Olentzero, le charbonnier qui descend de la montagne dans la vallée tous les 24 décembre pour annoncer la naissance du Christ. Le mythe de la fin d’un monde idyllique, annoncée par un ancien face à un phénomène atmosphérique jusque là inconnu, est très courant dans les Pyrénées et dans les Alpes pour expliquer la descente des habitants dans la vallée. Il semblerait que ce mythe soit antérieur à l’avènement du christianisme.

  • Pourquoi la chauve-souris doit-elle vivre la nuit?

    Après la guerre entre les oiseaux et les animaux terrestres, la paix régnait. Ils décidèrent alors de se partager le monde. Pour les uns, il y aurait le ciel et les arbres, et pour les autres, la terre. Mais comme la chauve-souris n’arrêtait pas de changer de camp en fonction des circonstances, elle fut finalement exclue et condamnée à vivre dans des grottes et à ne sortir que la nuit.

  • Le berger et le serpent

    Un berger avait nourri un serpent avec du lait jusqu’à ce qu’il parte avec son troupeau pour d’autres terres. Lorsqu’il revint, l’année suivante, le serpent, qui était devenu énorme, l’étouffa. Cette métaphore explique que ceux qui pratiquent le pastoralisme et quittent une terre perdent les droits qu’ils pourraient avoir acquis au profit de ceux qui se sont installés définitivement et qui pratiquent l’agriculture.

  • La force du chrétien

    Un gentil, grand, fort, et fanfaron, descend de la montagne et défie un chrétien qui travaille à la forge de Beasain. Ce dernier, avec ses tenailles, lui arrache le nez. Il faut y voir une forme de reconnaissance de la supériorité d’une industrie qui a marqué l’économie du Guipuscoa de la fin du moyen-âge jusqu’au XXIe siècle.

Tout au long de sa vie, il ne cessa de fouiller des mégalithes et des grottes, de les étudier, et de publier ses découvertes. Son travail donna naissance à une école d’archéologie. Il fut à l’origine des groupes Etniker qui travaillent aujourd’hui encore l’élaboration de l’Atlas géographique de Vasconie et nous permettent d’accroître nos connaissances concernant l’alimentation, les rites funéraires, les formes d’élevage et les jeux infantiles des anciens Basques. Avec les scientifiques Enrique de Eguren et Telesforo de Aranzadi (neveu d’Unamuno) le père Barandiarán formait un célèbre trio intellectuel spécialisé dans la préhistoire du peuple basque. On les appelait les “trois mousquetaires” ou “les trois tristes troglodytes”. Comme l’écrivit Luis, un neveu de Barandiarán, certains bergers qui les accompagnaient dans les montagnes du Pays basque pour travailler à l’exploration des dolmens et des grottes « ne parvenaient pas à comprendre pourquoi ces messieurs passaient leur temps à chercher des os, des pierres et des morceaux de poteries, et pensaient qu’ils recherchaient les trésors enfouis jadis par les gentils ». *sources documentaires : musée Barandiarán et livre “José Miguel de Barandiarán” de Luis de Barandiarán Irizar 

Zumalacárregui, général et combattant aguerri

Qu’est-ce que les fueros basques ? Et les guerres carlistes ? Deux mondes qui s’affrontent ! Tomás de Zumalacárregui est un personnage historique. C’était un homme à poigne qui ne se laissait pas facilement intimider. Avant-dernier de quatorze enfants, il naquit à Ormaiztegi en 1788. Son père était greffier à Idiazabal (oui, la fameuse ville du fromage !) et Tomás s’apprêtait à suivre la même voie. Mais les guerres napoléoniennes changèrent brutalement son destin. Rien ne devait plus jamais être pareil.
À Ormaiztegi, vous pouvez visiter la maison Iriarte-Erdikoa qui abrite aujourd’hui le musée Zumalakarregi. C’est une maison traditionnelle basque du XVIIIe siècle qui fut jadis la demeure de Tomás de Zumalacárregui. Elle abrite aujourd’hui l’office du tourisme et un centre consacré à l’étude du XIXe siècle au Pays basque. Vous serez surpris d’apprendre les événements agités qui accompagnèrent l’apparition de la modernité et la fin de l’ancien régime!
Tomás de Zumalacárregui, duc de la Victoria et comte de Zumalacárregui, fut un célèbre général carliste – surnommé “le loup des Amezcoas” – qui parvint à organiser une armée en partant de zéro, ou presque, sans quartier général, sans armes, et sans argent. Il permit la réussite du soulèvement carliste en assurant sa cohésion et en lui apportant un soutien militaire. Il finit par disposer de 22 bataillons d’infanterie et de trois escadrons de cavalerie. Mais sa carrière militaire fut courte. Blessé au siège de Bilbao en juin 1835, il mourut au Goierri dans la ville de Zegama. Sa légende était écrite. DEUX MONDES QUI S’AFFRONTENT C’est à la fin du XVIIIe siècle que commence l’affrontement entre les défenseurs de l’ancien régime et les partisans du libéralisme. Il durera pendant toute la vie de Zumalacárregui.
Le carlisme nait de l’opposition à certaines nouveautés apparues avec la Révolution française. Il s’oppose au libéralisme et prône la défense de la religion, de l’Église et des fueros. “La paysannerie basque, qui bénéficiait de certains avantages du système foral, fut victime des nouvelles normes et de la libéralisation : transfert des douanes, hausse des produits de base, des impôts et des loyers, perte des terres communales. Elle se rallia à la petite noblesse et au clergé contre la bourgeoisie libérale, comme l’explique le célèbre historien Palacio Atard. Le libéralisme précipita la fin d’un équilibre social, politique et économique, déjà précaire. Le changement fut trop brutal pour être pacifique et la petite noblesse se divisa. Ce fut également le cas de la famille Zumalacárregui.
Certains de ses membres restaient attachés aux traditions tandis que d’autres voulaient rompre avec elles. La famille Zumalacárregui appartenait à une aristocratie très nombreuse au Pays basque. Les filles y recevaient une bonne dot pour se marier et les fils se destinaient à la magistrature, à la prêtrise, ou à la carrière militaire. Miguel Zumalacárregui, le frère aîné, juriste et libéral modéré, prit un autre chemin tandis que Tomás devenait commandant en chef des troupes carlistes. Les frères Zumalacárregui, dont l’un était libéral et l’autre carliste, sont un bon exemple de cette lutte dans laquelle s’affrontaient deux conceptions opposées du monde. Sources documentaires : musée Zumalakarregi et livre “L’Espagne au XIXe siècle” de Vicente Palacio Atard.
UN INCROYABLE PANORAMA DE SAINT-SÉBASTIEN Le musée Zumalakarregi renferme une véritable surprise. Il recèle parmi ses trésors un panorama à 360 degrés de Saint-Sébastien au XIXe siècle : une aquarelle attribuée au major Thomas Staunton S. Clair sur laquelle on peut voir une vue panoramique de la ville à l’époque du général Zumalacárregui.

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Ormaiztegi

Le Goierri

Villes et villages

Ormaiztegi

C’est une commune qui compte environ 1350 habitants, où l’on peut voir le musée Zumalakarregi, des maisons rurales, et l’église paroissiale San Andrés dont les fonts baptismaux comptent parmi les plus anciens du Guipuscoa.

L’icône de la ville est son viaduc en acier inauguré en 1864. C’est une construction de 18.000 tonnes, haute de 34 mètres, avec un loungeur de 289 mètres. D’une grande importance stratégique, il a permis de rejoindre le port de Pasaia, l’Aragon et la Castille. C’est par lui que passait la ligne de chemin de fer Irún-Madrid. Il est resté en service jusqu’au 1er juillet 1995, date à laquelle il a été définitivement remplacé par la structure en béton construite en parallèle.

Points d’intérêt

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