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Centre d’interprétation du parc naturel Aizkorri-Aratz

Centre d’interprétation du parc naturel Aizkorri-Aratz

Office de tourisme de Zegama

Centre d’interprétation du parc naturel Aizkorri-Aratz

Calendrier:
Du 13 janvier au 3 avril et septembre
Jeudi – Dimanche 10:00 – 14:00
Du 6 avril au 10 juillet
Mercredi – Dimanche 10:00 – 14:00
Juillet et Août
Mardi – sablé 10 – 14 / 16 – 18 et dimanches 10 – 14
Octobre – Novembre
Vendredi – Dimanche 10:00 – 14:00
Décembre
Jeudi – Vendredi 10 – 14 / Samedi – Dimanche 10 – 14 / 16 – 18
JOURS FÉRIÉS OUVERTS
Entrée:
• 1 € | Enfants € 0,50
• Visite (minimum 10 personnes): 3 €
Langues: Basque. Espagnol
Adresse: Anduetza Baserria / San Bartolome 13
Téléphone: 943 80 21 87/943 67 02 49
E-mail: anduetza@gipuzkoanatura.eus
Web: https://www.gipuzkoanatura.eus/es/parketxes/anduetza
Wifi: non
Points d’intérêt

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Centre d’interprétation médiévale

Centre d’interprétation médiévale

Assurance office de tourisme

Centre d’interprétation médiévale

Fermé du 20 décembre au 15 janvier
Semaine Sainte et du1er juillet au 31 août:
• Lundi-dimanche: 11h30-13h30 et 16h30-19h30
1 septembre – 30 juin:
• Samedi – dimanche: 10h30 – 14h00 et 16h30 – 19h30
• Dimanche: 10h30 – 14h00
• Groupes (visite sur rendez-vous): Mardi et jeudi matin ; mercredi toute la journée.
Entrée:
• Normal: 2 €
• Visite guidée du musée, village médiéval, église et karkaba: 6,5 €
• Visites pour groupes de 6 personnes.
• Samedis: 17h00 (langue en fonction de la demande)
• Dimanche et vacances: 11h30 (langue en fonction de la demande)
• Visite à l’église: 2 € (groupes de 4 personnes)
• Jeu pour les familles « sachant Segura » de se passer de guide: 3€
Langues: Basque. Espagnol, Anglais, Français
Adresse: Ardixarra etxea, Calle Mayor 12
Téléphone: 943 80 17 49/943 80 10 06
Email: turismoa@segura.eus
Web: ardixarra.eus/fr/home
Wifi: non
Points d’intérêt

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Musée Zumalakarregi

Musée Zumalakarregi

Office de tourisme Ormaiztegi

Musée Zumalakarregi

Calendrier:
• Mars – octobre: ​​du mardi au samedi et jours fériés de 10h00 à 14h00 / 16h00 à 19h00 | Dimanche de 10h00 à 14h00
• Novembre – février: mardi au vendredi et dimanche de 10h00 à 14h00 | samedi et jours fériés de 10h00 à 14h00 / 16h00 à 19h00
• Musée fermé: Lundi, 1er et 6 janvier, 1er mai et 30 novembre
Langues: Basque, Espagnol, Anglais, Français
Entrée:
• Normal: 3 €
• Groupes (à partir de 5 personnes): 2€
• Réduit: 1,5 € (étudiants, groupes, retraités, chômeurs, membres de Kulturgune Bastero Andoain, membres de Nekatur, Eusko Ikaskuntza et Hirukide)
• Gratuit: tous les jeudis
Adresse: Caserío Iriarte Erdikoa, Muxika egurastokia 6
Téléphone: 943 88 99 00
E-mail: mzumalakarregi@gipuzkoa.eus
Web: www.zumalakarregimuseoa.eus
Wifi: non
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d´Elikatuz

d´Elikatuz

Office de tourisme d’Ordizia

d´Elikatuz –  centre de l´alimentation et de la gastronomie et centre d´interprétation du goierri

Calendrier:
• Haute saison (semaine sainte deux semaines, juillet et août, deux semaines de Noël, ponts et tous les dimanches de l’année), de 10h00 à 13h00 / 16h00 à 19h00
• Samedis, dimanches et jours fériés, de 11h00 à 14h00 / 16h00 à 19h00
• Basse saison: du mardi au vendredi de 9h00 à 13h00. Samedis et jours fériés de 10h00 à 14h00
Langues: Basque, Espagnol, Anglais, Français.
Entrée: 3,20 €
Adresse: Casa Barrenetxe, Santa María 24
Téléphone: 943 88 22 90
E-mail: turismo@ordizia.eus
Web: www.delikatuz.com
Wifi: oui
Points d’intérêt

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Centre d’interprétation et de dégustation de fromage Idiazabal

Centre d’interprétation et de dégustation de fromage Idiazabal

Centre d’interprétation

Centre d’interprétation et de dégustation de fromage Idiazabal

Calendrier:
· Basse saison: ouvert week-end et jours fériés (sauf dimanche après-midi) de 11.00-14.00 et 15.30-18.30 ou sur rendez-vous.
· Haute saison (deux semaines à Pâques, juillet, août, septembre et deux semaines à Noël) 11.00-14.00 / 15.30-18.30.
· Visites 11:15 / 12:30 / 16:00 / 17:15
Langues: Basque, Espagnol, Anglais, Français
Entrée:
• Visite guidée : 2,75€
• Visite guidée + dégustation de fromages: 3,40€
• Visite guidée + dégustation de fromages + boisson: 4,50€
Adresse: Kale Nagusia 37
Téléphone: 943 18 82 03
E-mail: info@idiazabalturismo.com
Web: www.idiazabalturismo.com
Wifi: non
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Igartza ensemble médiéval

Igartza ensemble médiéval

Point d’information Beasain

Igartza

Calendrier:
• 1Juillet – 11 septembre: de mercredi a dimanche 11:00-14:00 / 16:00-19:00
• Reste de l´année: samedi, dimanche et jours fériés 11:00-14:00
• Visites guidées: 11:30 – 13:00 – 16:30 – 18:30
Visites guidées (prix par personne):
-Adultes 4,8€
-Enfants (6-12) 3,6€
-Groupes (plus de 15) 3,6€
Atelier de talos (groupe minimal de 8 personnes):
-Adultes 10€
-Enfants (6-12) 8€
-Groupes (plus de 15) 8€
-Groupes scolaires 6€
Langues: Basque, Espagnol, Anglais, Français
Adresse: Peategi z/g.
Téléphone: 943 087 798 / 605 771 881
E-mail: igartza@beasain.eus
Web: www.igartza.eus
Wifi: oui
Points d’intérêt

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Erroipe

Erroipe

Centre d´interprétation

Erroipe

Dans le quartier d’Aia, vous trouverez le centre d’interprétation Erroipe, où vous pourrez découvrir le mode de vie de ce quartier situé au pied du parc naturel d’Aralar: toponymie des fermes, coutumes, nature, métiers et d’innombrables histoires et curiosités recueillies au fil de l’histoire.

Calendrier:
 Jeudi – Samedi de 10h à 14h.
Entrée: gratuite
Langues: Basque, Espagnol
Adresse: Aia auzoa S/n, 20211 Ataun
Téléphone: 943 06 19 63 / 634 22 22 09
Possibilité de visiter le centre sur rendez-vous.
Contact: erroipe@ataun.eus
Wifi: no

Points d’intérêt

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Centre D’interprétation Du Parc Naturel D’aralar

Centre D’interprétation Du Parc Naturel D’aralar

Point d’information

Centre D’interprétation Du Parc Naturel D’aralar

Calendrier:
• Janvier – mars: fermé.
• Avril, mai et juin: samedi-dimanche et jours fériés de 10h à 14h00.
• Juillet et août: vendredi – dimanche et jours fériés de 10h00 à 14h00.
• Septembre et octobre: dimanche et jours fériés de 10h00 à 14h00.
• Semaine sainte: de 10h00 à 14h00.
Langues: Basque, Espagnol

Entrée: gratuite
Adresse: Lizarrusti Parketxea, Lizarrusti gaina
Téléphone: 943 58 20 69
E-mail: barandiaran@gipuzkoanatura.eus
Web: http://parketxesarea.org/lizarrusti/
Wifi: non
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Musée Barandiaran

Musée Barandiaran

Musée

Musée Barandiaran

Calendrier:

 Janvier et février: du jeudi au dimanche et jours fériés 10:00  14:00
 Mars, juillet, août, octobre, novembre et décembre: du mercredi au dimanche et jours fériés 10:00  14:00
 Avril, mai, juin et septembre: du mardi au dimanche et jours fériés 10:00  14:00

Fermé à Noël
Entrée: adultes: 2 € | enfants: 1,5 € | Visites guidées pour adultes: 4 € | Visites guidées enfants: 3 €
Langues: Basque, Espagnol
Adresse: Larruntza Errota, San Gregorio auzoa, 20211 Ataun
Téléphone: 943 18 03 35
E-mail: barandiaran@gipuzkoanatura.eus
Web: www.gipuzkoanatura.eus/es/inicio
Wifi: non

Points d’intérêt

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Barandiaran et Zumalacárregui: Personnages historiques

Parc minier du Goierri

Mutiloa, Ormaiztegi et Zerain

Bienvenue au parc minier du Goierri et à la voie verte

Nous sommes dans le Goierri, dans le Haut-Pays basque d’Euskadi, où la nature touche le ciel et où la culture et la gastronomie forment un binôme avec l’appellation d’origine. Le passé minier de la région est perceptible dans le parc minier du Goierri, un lieu où l’on peut remonter le temps jusqu’à l’époque où l’extraction des minerais était le mode de vie de nombreux habitants du Goierri.

Télécharger la carte

Nous vous présentons le Parc Minier du Goierri, composé de différents éléments, tous liés à la forte industrie minière qui, depuis l’Antiquité, s’est maintenue jusqu’au début du XXe siècle. L’élément principal est la voie verte entre Mutiloa et Ormaiztegi, qui longe l’ancien chemin de fer minier utilisé pour transporter le minerai extrait dans les réserves minières de la région jusqu’à Ormaiztegi, d’où il était acheminé par voie ferrée vers les ports maritimes voisins. En plus de la voie verte, il existe 3 sentiers d’accès et de connexion aux anciens centres miniers.
Depuis Ormaiztegi, Mutiloa ou Zerain, vous pouvez désormais profiter de l’ensemble du parc minier du Goierri, suivre le chemin par lequel le minerai était transporté par câble aérien et découvrir les différentes ressources de la région, comme le musée Zumalakarregi et le viaduc d’Ormaiztegi, les fours d’Aizpitta, le musée ethnographique et la scierie hydraulique de Zerain, la zone de Barnaola dans la commune de Mutiloa, ainsi que la ville elle-même et le quartier de Liernia.
ROUTE DE CÂBLE Depuis les fours d’Aizpea, le minerai était acheminé par un câble aérien jusqu’à la zone minière de Barnaola, d’où il était transporté par chemin de fer jusqu’à Ormaiztegi. Nous ne pouvons pas prendre l’avion et c’est pourquoi nous avons créé cette nouvelle route qui relie les fours d’Aizpea à la réserve de Barnaola et qui nous permet de suivre tout le parcours qu’empruntait le minerai.
ROUTE TROI La route Troi est la voie d’accès à la réserve minière de Mutiloa. Elle commence au centre de Mutiloa et, après un passage sur la route du moulin de Lenkaran, elle longe la rivière Troi pour arriver à Barnaola. À côté du hameau du même nom se trouvent les structures de deux barrages de décantation, de stockage et de transport de la réserve minière de Mutiloa. C’est d’ici que partait le chemin de fer minier qui reliait la mine à Ormaiztegi, aujourd’hui transformé en voie verte. Le sentier suit les indications du GR283.

Gi SL 36

Depuis le village de Zerain, un sentier local mène aux fours d’Aizpitta, d’où l’on peut suivre l’ensemble de la nouvelle route vers Ormaiztegi. Ce sentier local est également un itinéraire circulaire.

Voie verte Mutiloa-Ormaiztegi

La voie verte Mutiloa-Ormaiztegi est une route d’origine minière. Elle longe les pentes des montagnes, au-dessus des centres urbains auxquels elle fait référence. Sa beauté réside dans les vues panoramiques des vallées à ses pieds et de la forêt qui l’entoure. Il existe un jeu d’orientation adapté aux familles et aux enfants. La carte est disponible à l’office du tourisme d’Ormaiztegi.

Histoire des réserves minières

À Mutiloa, le minerai de fer, extrait à Peatza, Ollargain, Gezurmuño ou Aizpuru, était, depuis l’époque médiévale, le principal fournisseur des forges actives dans les bassins supérieurs des vallées des rivières Urola et Oria. À la fin du XIXe siècle, la Compañía Minera de Mutiloa S.A. a imposé une exploitation plus organisée et systématique. Pour ce faire, elle a construit les infrastructures nécessaires pour répondre aux exigences du nouveau système de production : le chemin de fer minier qui traversait la zone depuis les environs de la ferme Barnaola jusqu’à la station Ormaiztegi, les plans inclinés, les lavoirs à minerai et les bassins de décantation… qui, avec l’école, les cantines et le bureau, occupaient et modifiaient substantiellement les pentes du quartier d’Ergoena.
Le minerai de fer alimente les grandes fonderies anglaises et françaises telles que Les Forges del Adour de Boucou à Baiona. En 1927, elles ont envoyé la dernière cargaison de minerai. Pendant la Seconde Guerre mondiale, une société allemande s’est intéressée sporadiquement à la région et, dans les années 1950, la société Patricio Echeverria S.A. de Legazpi a extrait suffisamment de minerai de fer pour alimenter les fours à éponge nouvellement construits. Dans les années 1970, la société canadienne Exminesa a découvert le riche filon de plomb de la mine Troya, qui est restée active jusqu’en 1993.
C’est le dernier épisode d’une tradition minière enracinée depuis des siècles à Mutiloa et au Pays basque. À Zerain, l’exploitation minière est un fait indéniable depuis la fin du Moyen-Âge. L’activité la plus intense a commencé au milieu du XIXe siècle et, à la fin de ce même siècle, des sociétés de capitaux étrangères, anglaises, hollandaises et allemandes, ont réorganisé la zone et commencé à travailler systématiquement à l’installation de nouveaux éléments technologiques : chemins de fer miniers internes, fours de calcination, câbles aériens…
Ce minéral était très demandé par l’industrie sidérurgique européenne. Les fluctuations du marché et les conflits de guerre internationaux ont surtout eu pour conséquence que l’activité minière n’a pas été poursuivie. Les derniers travaux dans la réserve ont eu lieu dans les années 1950, lorsque la société Patricio Exheverria S.A. de Legazpi s’est intéressée aux filons de fer en raison de la pénurie de ferraille qui alimentait les fours de ses aciéries. Cette activité nous a laissé un paysage et un patrimoine culturel intéressants où l’atelier de calcination se distingue par ses trois fours impressionnants qui nous accueillent à côté du centre d’interprétation d’Aizpitta.

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Jeu de quilles



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Paysage culturel: Zerain

Zerain

Paysage culturel

Zerain

Musée Ethnographique. Ce petit musée est un échantillon du développement du mode de vie et des coutumes de ce village du Goierri. La visite commence avec la projection d’un diaporama sur Zerain et on continue avec une exhibition des utiles, des mobiliers, des documents…qui montrent le processus historique parmi laquelle a passé Zerain. Les pièces de cette collection ont été cédés par ses habitants et ils narrent les débuts du village dans l’agriculture et le pâturage d’une époque, à travers l’époque minière, jusqu’aujourd’hui.
HORAIRE
-Mardi – jeudi: 10:30-14:00
-Vendredi: 10:30-14:00 et 16:00-18:30
-Samedi et dimanche: 10:30-14:00
-Jours fériés, jour férié et Semaine Sainte: 10:30-14:00 et 16:00-18:30
-Juillet et Août: lundi – dimanche 10:30-14:00 et 16:00-18:30
ENTRÉE Consulter à l’office de tourisme, le prix est de 3€ pour les adultes et 2€ pour les enfants.
Email: turismobulegoa@zerain.eus 
Téléphone: (+34) 943 80 15 05 / 649 946 277

Scierie hydraulique. Construit autour de l’année 1890, la Scierie de Larraondo, s’approvisionnait de l’eau de la rivière Lasurtegi, pour sa mise en marche. La force de l’eau mouvait deux scies, le tour, la brosse, les émeris, la pierre à aiguiser, la perceuse, le petit moulin et la forge. En 1960 la Scierie Larraondo a mis fin à son activité, mais on peut encore observer le fonctionnement de ses outils.

Tous les week-ends et jours fériés ont lieu des visites guidées de l’Office de Tourisme de Zerain.
Voici le calendrier pour effectuer les visites guidées:
Mines d’Aizpea Basque

10:45

Scierie du Larraondo Bilingue

12:00

Mines d’Aizpea Espagnol 12:45
*La réservation doit être effectuée au moins 48 heures à l’avance et si vous n’arrivez pas à un minimum de 6 personnes sera annulée.
TÉLÉPHONE: (+34) 943 80 15 05 / 649 946 277 
EMAIL: turismobulegoa@zerain.eus

Prison. La prison ou cachot a été construit, au même temps que la mairie, en 1711. C’est l’unique prison du XVIIIe siècle conservé à Gipuzkoa. Cela a été une prison de passage, car Zerain unnait deux chaussés principaux. C’étaient les prisonniers condamnés à travailles aux mines de fer qui y dormaient. Les anneaux et les manilles que vous pouvez voir actuellement, servaient pour enchaîner les prisonniers.

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Zerain, La montagne du Fer

Zerain

La montagne du fer

Zerain

L’ exploitation du fer a été énormément important pour l’histoire du Pays Basque et, plus concrètement, l’extraction du fer et du charbon a marqué intensément le paysage de Zerain. C’est l’une des villages basques qui meilleur a conservé l’environnement rural traditionnel. Aux mines d’Aizpea, plus connus comme la Montagne de Fer, vous pouvez connaitre comment on obtenait du fer et visiter une galerie. Ces mines ont été déclarés Conjoint Monumental du Département de Culture du Gouvernement Basque. À Zerain il y a d’autres curiosités : pénétrer dans la prison du XVIIIe siècle ou voir une scierie en marche. Les weekends et feriés nous réaliserons des visites guidées de l’Office de Tourisme de Zerain.

Voici le calendrier pour effectuer les visites guidées:

Mines d’Aizpea Basque

10:45

Scierie du Larraondo Bilingue

12:00

Mines d’Aizpea Espagnol 12:45
*La réservation doit être effectuée au moins 48 heures à l’avance et si vous n’arrivez pas à un minimum de 6 personnes sera annulée.
TÉLÉPHONE: (+34) 943 80 15 05 / 649 946 277 
EMAIL: turismobulegoa@zerain.eus

La Centre d’Interprétation Aizpitta a eu comme but recueillir du renseignement et publier la valeur réelle de l’endroit, en montrant aux visitant le processus d’industrialisation du fer d’une manière moderne et avec de la technologie de pointe.

Pour connaître les horaires des autres équipements, consultez la section Paysage culturel. Lien.

La Montange de Fer

Pour connaitre la réalité actuelle de Zeraint c’est indispensable de connaître son passé minier.
Depuis le XIe siècle, on a extrait du fer des 150 hectares qui composent les mines d’Aizpea. Cette exploitation a développé un paysage spécial dans l’endroit situé dans le Parc Naturel Aizkorri-Aratz.
Le paysage qui couvre la montagne a été déclaré Conjoint Monumental du Département de Culture du Gouvernement du Pays Basque. Un complexe minier énormément importante pour comprendre la tradition minière basque. Découvrez les chantiers, les galeries, les dessins inclinés, les chemins de fer, les câbles… les spectaculaires fours de calcination et aussi des vestiges propres de la profession des poudrières, des ateliers d’arrangement, des cantines, des bureaux, des citernes artificieux…

Le Centre du Visitant Aizpitta est le lieu clé duquel partir pour bien connaître les Mines d’Aizpea, comprendre l’importance du fer au Pays Basque et pourquoi l’endroit nommée La Montagne de Fer a été déclaré Conjoint Monumental. Vous verrez aussi l’impact que l’industrie d’exploitation du fer en nos montagnes, a eu une conséquence importante sur le paysage actuel, la société, l’économie local et à niveau socio-économique depuis le XIe siècle.

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Segura et Ordizia: villes médiévales

Villes Médievalés

Segura et Ordizia

Segura

Segura Le Roy de Castille Alphonse X le Sage fonda le village de Segura en 1256, avec le but de protéger les chemins qui communiquèrent le plateau et les Pyrénées. Il vaut la peine de visiter Segura, le vieux quartier amendé, parfaitement conservé et avec un bon accès, à 37 minutes de Saint Sébastien. Segura a été pendant plusieurs années un point obligé entre Castille et la France, et aujourd’hui on conserve encore quelques manoirs et palaces de l’époque comme le Palace Ardixarra (siège du Centre d’Interprétation Médiéval), le Palace Lardizábal (l’Hôtel de Ville), et l’église paroissial de l’Asunción.

Ordizia

Ordizia Ordizia est une ville médiévale à seulement 30 min du capital de Gipuzkoa, Donostia – Saint Sébastien, donc une visite à la ville est essentielle. Son marché est très connu, que viens de fêter son 500 anniversaire en 2012. En 1512, la ville souffrit un grave incendie et la reine Jeanne ce Castille concéda « la royale faculté de célébrer un marché franc chaque mercredi de l’année ». Depuis lors jusque l’actualité chaque mercredi les « baserritarras » d’autour vendent ses produits et il s’établie une guide pour marquer les tarifs des produits agricoles du Pays Basque. On célèbre aussi le marche des produis de qualité chaque vendredi après-midi. Autour de la Place Principale, lieu où on célèbre le marché, s’étend le vieux quartier de la ville avec des bâtiments très intéressantes. Il faut mentionner l’Hôtel de Ville, le Palace Zabala, le Palace Barrena…À côté d du Palace Barrena on peut visiter le Centre d’Elikatuz, Centre d’Interprétation du Goierri et Centre d’Interprétation de l’Alimentation et la Gastronomie.

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Ensemble monumental: d’Igartza

Igartza

Ensemble monumental

Igartza

L’ Ensemble Monumental d’Igartza se trouve à l’entrée de Beasain, municipalité à laquelle il appartient. Il est composé de plusieurs bâtiments: le Palace, la chapelle, le moulin, la maison du moulinier, la scierie, la maison du forgeron avec les étables, la presse à pomme et le pontIgartza est du XIIe siècle, à cette époque au lieu d’un Palace à cet endroit il y avait une tour de défense, comme il était habituel par raison des guerres entre brigands. Les messieurs d’Igartza construisirent le Palace au XVIème siècle et l’entourèrent des services nécessaires : le moulin, la scierie, la presse à pomme, les étables, etc. Vous pouvez mieux connaitre l’ensemble via les visites guidés, ainsi que profiter de l’environnement aux expositions et conférences.

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Barandiaran et Zumalacárregui: Personnages historiques

Personnages historiques

Barandiaran et Zumalakarregi

Aita Barandiaran

LE PATRIARCHE DE LA CULTURE BASQUE Qui est Olentzero? Et eguzkilore? Pourquoi les chauves-souris vivent-elles la nuit? Tout a commencé ici, dans le Goierri. Dans le quartier San Gregorio, à Ataun, le 31 décembre 1889, avec la naissance de José Miguel de Barandiarán. Nous nous trouvons sur les contreforts de la chaîne de l’Aralar, une région imprégnée de mythes et de réminiscences magiques, habitée par des sorcières, des géants et d’héroïques personnages légendaires de la culture basqueLe musée Barandiarán est un trésor culturel mal connu des touristes. Il vous fera entrer dans l’univers magique des Basques. Aita (le père, en basque) Barandiarán a compilé des récits, des mythes, des contes et des savoirs spécifiques de la culture traditionnelle basque qui n’auraient pas pu survivre sans cela. Le père Barandiarán a bouleversé notre connaissance de la préhistoire du Pays basque et sauvegardé notre mythologie.
José Miguel de Barandiarán est un prêtre qui vécut jusqu’à l’âge de 102 ans et qui publia 575 ouvrages relatifs au peuple basque. Plus de dix mille pages de livres, d’articles et de collaborations. ”J’irais jusqu’en enfer, si c’était pour parler de la culture basque” avait-il coutume de dire. L’étude de ce “patrimoine immatériel” qu’il corréla avec d’autres disciplines, et plus particulièrement l’archéologie, a fait de lui le fondateur de l’ethnographie basque. C’est grâce au père Barandiarán que nous connaissons aujourd’hui le passé millénaire d’Euskal Herria. Dans l’enfance du père Barandiarán, le basque était la seule langue parlée dans sa ville natale: Ataun.
Issu de parents qui avaient une conception spirituelle de la culture, mais qui étaient analphabètes (sous le règne d’Alphonse XII, 75 % de la population espagnole ne savait ni lire, ni écrire), José Miguel de Barandiarán parvint à parler six langues : le basque, l’espagnol, le latin, l’anglais, le français et l’allemand. À l’âge de 100 ans, il se souvenait encore de vers de Don Quichotte qu’il avait appris par cœur dans son enfance et dont il ne comprit le sens que bien des années plus tard. Le père Barandiarán fit sa première découverte archéologique par hasard, en tentant de trouver le lieu exact où vivaient les gentiles (des géants païens de la mythologie basque).

Les mythes qui nous ont été racontés par Barandiaran!

  • Olentzero, la fin d’une époque et le début d’une autre

    Les gentiles jouaient dans la montagne quand ils virent un nuage lumineux qui venait de l’est. D’après ce que leur dit un ancien, c’était le Christ (dans leur langue, Kixmi, le singe), dont la venue annonçait la fin de ce monde et le début d’une nouvelle ère… et il leur demanda de le jeter dans un ravin. Les autres gentiles se précipitèrent sous un dolmen, “jentillarri”. Il ne resta plus qu’un gentil, Olentzero, le charbonnier qui descend de la montagne dans la vallée tous les 24 décembre pour annoncer la naissance du Christ. Le mythe de la fin d’un monde idyllique, annoncée par un ancien face à un phénomène atmosphérique jusque là inconnu, est très courant dans les Pyrénées et dans les Alpes pour expliquer la descente des habitants dans la vallée. Il semblerait que ce mythe soit antérieur à l’avènement du christianisme.

  • Pourquoi la chauve-souris doit-elle vivre la nuit?

    Après la guerre entre les oiseaux et les animaux terrestres, la paix régnait. Ils décidèrent alors de se partager le monde. Pour les uns, il y aurait le ciel et les arbres, et pour les autres, la terre. Mais comme la chauve-souris n’arrêtait pas de changer de camp en fonction des circonstances, elle fut finalement exclue et condamnée à vivre dans des grottes et à ne sortir que la nuit.

  • Le berger et le serpent

    Un berger avait nourri un serpent avec du lait jusqu’à ce qu’il parte avec son troupeau pour d’autres terres. Lorsqu’il revint, l’année suivante, le serpent, qui était devenu énorme, l’étouffa. Cette métaphore explique que ceux qui pratiquent le pastoralisme et quittent une terre perdent les droits qu’ils pourraient avoir acquis au profit de ceux qui se sont installés définitivement et qui pratiquent l’agriculture.

  • La force du chrétien

    Un gentil, grand, fort, et fanfaron, descend de la montagne et défie un chrétien qui travaille à la forge de Beasain. Ce dernier, avec ses tenailles, lui arrache le nez. Il faut y voir une forme de reconnaissance de la supériorité d’une industrie qui a marqué l’économie du Guipuscoa de la fin du moyen-âge jusqu’au XXIe siècle.

Tout au long de sa vie, il ne cessa de fouiller des mégalithes et des grottes, de les étudier, et de publier ses découvertes. Son travail donna naissance à une école d’archéologie. Il fut à l’origine des groupes Etniker qui travaillent aujourd’hui encore l’élaboration de l’Atlas géographique de Vasconie et nous permettent d’accroître nos connaissances concernant l’alimentation, les rites funéraires, les formes d’élevage et les jeux infantiles des anciens Basques. Avec les scientifiques Enrique de Eguren et Telesforo de Aranzadi (neveu d’Unamuno) le père Barandiarán formait un célèbre trio intellectuel spécialisé dans la préhistoire du peuple basque. On les appelait les “trois mousquetaires” ou “les trois tristes troglodytes”. Comme l’écrivit Luis, un neveu de Barandiarán, certains bergers qui les accompagnaient dans les montagnes du Pays basque pour travailler à l’exploration des dolmens et des grottes « ne parvenaient pas à comprendre pourquoi ces messieurs passaient leur temps à chercher des os, des pierres et des morceaux de poteries, et pensaient qu’ils recherchaient les trésors enfouis jadis par les gentils ». *sources documentaires : musée Barandiarán et livre “José Miguel de Barandiarán” de Luis de Barandiarán Irizar 

Zumalacárregui, général et combattant aguerri

Qu’est-ce que les fueros basques ? Et les guerres carlistes ? Deux mondes qui s’affrontent ! Tomás de Zumalacárregui est un personnage historique. C’était un homme à poigne qui ne se laissait pas facilement intimider. Avant-dernier de quatorze enfants, il naquit à Ormaiztegi en 1788. Son père était greffier à Idiazabal (oui, la fameuse ville du fromage !) et Tomás s’apprêtait à suivre la même voie. Mais les guerres napoléoniennes changèrent brutalement son destin. Rien ne devait plus jamais être pareil.
À Ormaiztegi, vous pouvez visiter la maison Iriarte-Erdikoa qui abrite aujourd’hui le musée Zumalakarregi. C’est une maison traditionnelle basque du XVIIIe siècle qui fut jadis la demeure de Tomás de Zumalacárregui. Elle abrite aujourd’hui l’office du tourisme et un centre consacré à l’étude du XIXe siècle au Pays basque. Vous serez surpris d’apprendre les événements agités qui accompagnèrent l’apparition de la modernité et la fin de l’ancien régime!
Tomás de Zumalacárregui, duc de la Victoria et comte de Zumalacárregui, fut un célèbre général carliste – surnommé “le loup des Amezcoas” – qui parvint à organiser une armée en partant de zéro, ou presque, sans quartier général, sans armes, et sans argent. Il permit la réussite du soulèvement carliste en assurant sa cohésion et en lui apportant un soutien militaire. Il finit par disposer de 22 bataillons d’infanterie et de trois escadrons de cavalerie. Mais sa carrière militaire fut courte. Blessé au siège de Bilbao en juin 1835, il mourut au Goierri dans la ville de Zegama. Sa légende était écrite. DEUX MONDES QUI S’AFFRONTENT C’est à la fin du XVIIIe siècle que commence l’affrontement entre les défenseurs de l’ancien régime et les partisans du libéralisme. Il durera pendant toute la vie de Zumalacárregui.
Le carlisme nait de l’opposition à certaines nouveautés apparues avec la Révolution française. Il s’oppose au libéralisme et prône la défense de la religion, de l’Église et des fueros. “La paysannerie basque, qui bénéficiait de certains avantages du système foral, fut victime des nouvelles normes et de la libéralisation : transfert des douanes, hausse des produits de base, des impôts et des loyers, perte des terres communales. Elle se rallia à la petite noblesse et au clergé contre la bourgeoisie libérale, comme l’explique le célèbre historien Palacio Atard. Le libéralisme précipita la fin d’un équilibre social, politique et économique, déjà précaire. Le changement fut trop brutal pour être pacifique et la petite noblesse se divisa. Ce fut également le cas de la famille Zumalacárregui.
Certains de ses membres restaient attachés aux traditions tandis que d’autres voulaient rompre avec elles. La famille Zumalacárregui appartenait à une aristocratie très nombreuse au Pays basque. Les filles y recevaient une bonne dot pour se marier et les fils se destinaient à la magistrature, à la prêtrise, ou à la carrière militaire. Miguel Zumalacárregui, le frère aîné, juriste et libéral modéré, prit un autre chemin tandis que Tomás devenait commandant en chef des troupes carlistes. Les frères Zumalacárregui, dont l’un était libéral et l’autre carliste, sont un bon exemple de cette lutte dans laquelle s’affrontaient deux conceptions opposées du monde. Sources documentaires : musée Zumalakarregi et livre “L’Espagne au XIXe siècle” de Vicente Palacio Atard.
UN INCROYABLE PANORAMA DE SAINT-SÉBASTIEN Le musée Zumalakarregi renferme une véritable surprise. Il recèle parmi ses trésors un panorama à 360 degrés de Saint-Sébastien au XIXe siècle : une aquarelle attribuée au major Thomas Staunton S. Clair sur laquelle on peut voir une vue panoramique de la ville à l’époque du général Zumalacárregui.

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Le Goierri, une terre de géants. Mythologie basque

Mythologie basque

Le Goierri, une terre de géants

Mythologie basque

Commencez donc par vous rendre au Centre d’Interprétation du Parc Naturel d’Aralar, sur les hauteurs de Lizarrusti. Là, ils vous expliqueront tout, des parcours en montagne aux activités que vous pouvez faire avec des enfants. Si vous voulez y rester dormir, vous y trouverez un gîte pouvant accueillir 34 personnes et un lieu où vous pourrez prendre un verre et vous restaurer (menu du jour). En quittant le centre, prenez donc la route qui conduit au lac de barrage de Lareo. Dans ce cadre naturel, vos poumons se rempliront d’air pur pendant qu’un guide se chargera de vous faire découvrir les mégalithes et les dolmens tout en vous présentant nos personnages mythologiques et certaines de leurs légendes.
En partant du centre d’interprétation, vous pouvez aussi réaliser une promenade théâtralisée destinée aux enfants et à leurs parents, en pleine nature, en suivant un parcours qui vous fera vivre une belle histoire peuplée d’animaux de la forêt et d’êtres mythologiques.  Si vous voulez en savoir plus sur notre univers mythologique, ne manquez pas de vous rendre à Ataun pour y visiter le musée consacré à José Miguel Barandiarán, un prêtre qui a consacré sa vie à l’étude ethnologique et anthropomorphique de l’Euskadi, et plus particulièrement à la mythologie Basque. Considéré comme le patriarche de la culture Basque, El aita (le père) Barandiarán a passé sa vie (il a vécu plus de 100 ans) à compiler d’anciennes coutumes, croyances, légendes et histoires populaires dont le souvenir menaçait de se perdre.
Tartalo, un mauvais génie qui n’avait qu’un œil et qui capturait les enfants pour les dévorer… Celle de Basajaun, qui vivait au plus profond des bois et veillait sur les troupeaux. Lorsqu’une tempête s’annonçait ou qu’un loup rôdait dans les parages, il poussait un cri pour dire aux bergers de rassembler leurs troupeaux tandis que les brebis, sentant sa présence, se mettaient à agiter leurs clochettes en chœur. Certains récits populaires dépeignent Basajaun comme le premier agriculteur, d’autres nous expliquent que la déesse Mari changeait continuellement de demeure, passant tantôt une saison dans l’Aralar, tantôt dans l’Aizkorri, ou encore à Murumendi. Ces récits parlent également de bien d’autres créatures de la mythologie basque que vous rencontrerez dans les montagnes, les grottes et les bois du Goierri.

Glossaire des personnages mythologiques

  • Les gentiles

    Les Basques de l’ère préchrétienne étaient des géants solidement bâtis. Ils vivaient dans une nature sauvage et lançaient de grosses pierres sur leurs ennemis. Ils construisaient des menhirs (les pierres des gentiles) et des cromlechs (huertas de gentiles), on leur attribue même la construction de nombreuses églises, ponts et maisons du Pays Basque. On les connaît également sous le nom de Mairuak. Ces pionniers de l’agriculture nous ont apporté beaucoup de choses. Ce type de créatures est très courant dans la mythologie indo-européenne.

  • Les lamias

    Les lamias sont de belles créatures ressemblant à des femmes que l’on trouve généralement dans les rivières. Elles ont une patte de canard ou de chèvre et démêlent leurs cheveux avec un peigne en or. Elles se plaisent à séduire les êtres humains. On retrouve ce genre de créatures dans les mythologies Grecque et Romaine.

  • Tártalo ou Torto

    Tártalo est un être malveillant qui ne possède qu’un seul œil. Il vit dans des grottes et capture des enfants pour les manger. C’est un descendant des cyclopes de la mythologie Grecque.

  • Basajaun ou le Seigneur des bois

    Il est grand et fort, avec des cheveux qui lui arrivent aux chevilles. Il veille sur les troupeaux et prévient les bergers lorsqu’une tempête s’annonce. Il protège le bétail contre les loups, et lorsqu’il est près d’elles, les brebis agitent leurs clochettes. D’après certains récits populaires, Basajaun serait aussi le premier agriculteur.

  • Les sorcières

    La nuit, les sorcières se livrent à leurs sabbats. Elles peuvent prendre la forme d’un chat, d’un âne ou d’un autre animal, mais il leur manque généralement une partie du corps (main, jambe, tête). Du XVe au XVIIe siècle, de nombreux procès en sorcellerie eurent lieu au Pays Basque, mêlant croyances populaires, religion, querelles de voisinage, et politique.

  • Mari

    Mari est la reine des déesses. On la représente généralement avec un corps et un visage de femme. Elle porte des vêtements élégants de couleur rouge. Mais elle peut également apparaître sous la forme d’un arbre, d’un aigle, d’une vache, ou d’une femme de feu. Avec son compagnon, Sugaar, elle vit dans les grottes de diverses montagnes (Larrunarri, Murumendi…).

  • Zezengorri

    Zezengorri est un être qui vit dans les grottes. Prenant la forme d’une vache ou d’un taureau, il protège les demeures de Mari. Certains croient que c’est Mari elle-même qui prendrait cette forme. La figure du taureau a toujours été très présente dans le sud de l’Europe.

  • Sugaar

    Sugaar est l’époux de la déesse Mari. Son apparence est celle d’un serpent. Il est lié à l’orage et aux éclairs. Il se charge notamment de punir les enfants qui n’obéissent pas à leurs parents.

  • Gaueko

    Gaueko est le seigneur de la nuit. Interdisant aux êtres humains de travailler après la tombée du jour, il capture et emporte les jeunes téméraires qui osent braver cette interdiction.

  • Zozomikoteak

    Dans plusieurs villages du Guipuscoa et de Navarre, on appelle Zozomikoteak les deux derniers jours du mois de mars et les deux premiers du mois d’avril: c’est l’époque à laquelle les grives musiciennes commencent à construire leurs nids.

Pratiques magiques!

  • Eguzkilore oula fleur-soleil

    C’est une amulette qui protège les maisons. On dit que les esprits malins doivent compter une à une toutes les graines qui forment le cœur de cette variété de chardon (fleur soleil) avant de pouvoir franchir le seuil d’une maison. Mais ils n’ont pas le temps de finir avant l’aube. Avec le lever du soleil, auquel cette fleur ressemble, la nuit s’achève et les mauvais esprits perdent leur pouvoir.

  • Les verrues

    Pour faire partir les verrues, on utilise des grains de sel ou de blé disposés en forme de croix et on récite des incantations. Ensuite, on les retire pour que les verrues se dessèchent en même temps que les grains restés sur le sol.

  • La bougie

    On allume une bougie et, au fur et à mesure qu’elle se consume et que la cire se coule et se déforme, la personne malveillante à l’intention de laquelle elle a été allumée se consume également.

  • Le hache

    Placée à la porte d’une maison, avec le tranchant vers le haut, elle est censée protéger la maison de la foudre.

  • Le fêne et l’aubépine

    Tous deux ont des fonctions protectrices. La veille de la Saint-Jean, on accroche ces plantes sur les portes et les fenêtres.

  • Le Txelemon

    C’est une sorte de jugement théâtralisé de la région d’Ataun dont on ignore la symbolique. Une femme, la tête couverte, une baguette à la main, tourne autour de l’accusé en le traitant de voleur. Celui-ci, à genoux, en équilibre instable, lui répond pendant que le (ou la) juge marque le tempo avec la baguette.

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